Le Conseil des Ministres du mercredi 15 février n’a pas dérogé à la règle : les mêmes têtes depuis des décennies pour les affaires du pays, ministres ou nominations.
Vivant une période de glaciation, les grands hôpitaux congolais ont depuis le 15 février à leur tête de nouvelles têtes. Enfin, presque. « Nouvelles têtes » au sens d'une synecdoque particularisante, s’entendant comme la partie du jeu de chaises musicales. Ainsi, le professeur en hématologie Elira Dokiekas, qui a brillamment échoué partout où il est passé, prend la direction de l’hôpital Adolphe Cissé de Pointe-Noire, quand le professeur Armand Moyikoua devient le président du Comité de direction de cadavre-vivant, le CHU. La présidence du Comité de direction de Blanche Gomes échoit au professeur de gynécologie Léon Hervé ILoki, et celle de l’hôpital de Dolisie à Jean Jacques Moka. À noter que le laboratoire national de santé revient au virologue Raphael Taty-Taty.
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En somme, des têtes bien connues des Congolais et qui ont lourdement contribué à l’extinction du système sanitaire congolais. Avec Sassou, la moindre lueur d’espoir est impossible au Congo.
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