
L'artiste d’origine camerounaise Patricia Essong sort un album riche en émotions, avec des sonorités alternatives, folks et Blues.
Des textes qui invitent à l'introspection de nos valeurs, de notre spiritualité, des traditions qui se perdent, un hommage aux artistes ayant marqué des générations entières, telles sont les caractéristiques du premier album de Patricia Essong. « À travers ce 1er album Soul of Nü Bantu, je raconte l’histoire de nos envies profondes, celle que nous rêvons de voir émerger de nous, celle de prendre le témoin de sa culture d’origine, et la valoriser. Soul of Nü Bantu est un voyage initiatique en langues bantoues, un parcours régional rythmé de sonorités folk jazzy et blues. D’une musicalité alternative et minimaliste, l’Album Soul Of Nü Bantu est au service de l’émotion", écrit-elle sur son site officiel.
Sous des influences de Miriam Makeba, Tracy Chapman, Lizz Wright, Patricia Essong sort maintenant son tout premier album intitulé “Soul of Nü Bantu”, en mai 2016. Dans cet album, elle fait le choix de l'enracinement en se ré-appropriant son héritage culturel bantou agrémenté de sa propre sensibilité.
Née au Cameroun, Patricia Essong s’enrichit de la culture musicale locale. À l’âge de se responsabiliser, elle poursuit ses études et entreprend une belle carrière dans un cabinet de conseil en management. Le besoin d’exprimer sa musique ne la quitte cependant jamais.
Très longtemps restée dans les lignes, des choix de vie qui viennent tout remettre en question, c’est alors un matin de janvier 2013 qu’elle décide de sortir de sa zone de confort pour aller à la rencontre de cette passion qui l’habite depuis si longtemps.
La citation “le meilleur jour de ta vie est celui où tu décides que ta vie t’appartient ”, devient son leitmotiv, elle se découvre une réelle vocation et démarre son itinéraire de working girl qui va à la réalisation de son rêve. Une artiste à suivre.
En concert le 13 juin au Sentier des Halles
http://lesentierdeshalles.fr/home/patricia-essong/
Voir aussi : Sortie du Single "Process" de Mack Gyl